La Bête rouge
Collection «Littérature»
L'écrivain Michel Martial ne s'est jamais interrogé sur l'attrait qu'il éprouve pour la violence. L'horreur ne l'intéresse que sur papier, croit-il. Mais, un jour, il rencontre Aldé Letendre qui n'a jamais pu, lui, se payer le luxe de la vertu. La petite vie tranquille du romancier bascule alors dans le désordre.
Un roman meurtrier dans lequel deux personnages se livrent un combat sans merci qui fera tomber les masques de chacun.
Un roman meurtrier dans lequel deux personnages se livrent un combat sans merci qui fera tomber les masques de chacun.
Échos des médias
« Difficile de ne pas être atteints, troublés par ce récit qui nous entraîne aux confins de la forêt abitibienne en proie aux flammes d'un été, où se joue le jeu fatal du sacrifice et de la vengeance [...]. La Bête rouge, cette histoire de bruit et de fureur qu'il faut lire pour ces êtres plus grands que nature, qui, comme chez Shakespeare, nous dévoilent l'âme humaine dans toute sa beauté et sa hideur. »
Raymond Bertin, Voir
« La Bêtre rouge, cette plongée dans les profondeurs d'une violence sans nom, faite de désirs extrêmes et vécue par des personnages dont on a extorqué la mémoire fondatrice, les forçant ainsi à déterrer racines et à brûler ramages, comme aux premiers temps de la colonisation, univers férocement coloré des meurtres rituels, des incestes et des mutilations mythiques. La Bête rouge est le plus grand roman écrit de main de femme depuis dix ans au Québec. À proprement parler, hallucinant, surtout quand on le lit comme moi dans cet autobus bringuebalant traversant par tempête de neige le parc glacé des Laurentides. »
Victor-Lévy Beaulieu, La Reine-Nègre et autres textes vaguement polémiques
« On lit La Bête rouge comme on plonge dans l'eau : en retenant son souffle !
Marc-Antoine Tanguay-Lauzière, Québec français
Raymond Bertin, Voir
« La Bêtre rouge, cette plongée dans les profondeurs d'une violence sans nom, faite de désirs extrêmes et vécue par des personnages dont on a extorqué la mémoire fondatrice, les forçant ainsi à déterrer racines et à brûler ramages, comme aux premiers temps de la colonisation, univers férocement coloré des meurtres rituels, des incestes et des mutilations mythiques. La Bête rouge est le plus grand roman écrit de main de femme depuis dix ans au Québec. À proprement parler, hallucinant, surtout quand on le lit comme moi dans cet autobus bringuebalant traversant par tempête de neige le parc glacé des Laurentides. »
Victor-Lévy Beaulieu, La Reine-Nègre et autres textes vaguement polémiques
« On lit La Bête rouge comme on plonge dans l'eau : en retenant son souffle !
Marc-Antoine Tanguay-Lauzière, Québec français
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Collection «Traduction»
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La Morte du pont de Varole
Collection «Littérature»
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